Inconcevable

C'est le mot qui me colle à la peau. Voilà deux ans que mon Papa s'est "envolé" comme on dit... Je n'ai toujours pas encaissé. Oui les journées sont moins lourdes de sens qu'au tout début avec ce choc émotionnel dévastateur. Ces océans de larmes, cette envie de rien, ce panneau STOP face à la détresse de la perte d'un être essentiel à sa vie. Cette perte, inconcevable, sonne notre esprit, remue une souffrance absolue, soulève un tas de questions, une période affreuse ou la tête tourne en rond, avec le même constat à chaque réflexion. Des larmes, des sanglots.

Quand la vie t'offre un dernier cadeau !

Avancer et ne pas te retourner...

Avancer et ne pas te retourner ... 

Ne pas s'arrêter, jamais parce que sinon ton corps te rappellera à quel point il souffre à quel point il a mal mais personne ne peut l'aider. 

Personne ne sait vraiment ce qui te ronge.

 Malgré diverses recherches qui durent depuis trois années maintenant tu avances, tu n'attends plus vraiment des mots sur tes maux. 

Tu te dis simplement que tu as de la chance, tu es en vie et debout sur tes deux jambes, tu danses, tu chantes, tu cours... 

Tu les vois grandir, tes enfants toi. 

Jamais tu n'écoutes ce corps que tu ne comprends plus depuis longtemps. 

Jamais tu ne lâches vraiment prise. 

Tu le sais, le mal ne se voit pas, il est invisible donc n'existe pas.

Le monde des blogueuses/blogueurs, un monde tout rose ?

Coucou, aujourd'hui nous voulions vous parler de ce monde dans lequel nous avons mis le premier petit orteil voilà 2 ans, le monde de la blogosphère. Cet article est co-écrit comme nous avons l'habitude de le faire sur les tests, sauf que cette fois nous voulons vous dévoiler certaines choses... 

Le petit dernier...

A toi mon fils, aujourd'hui je vais écrire, parce que en grandissant tu emmènera avec toi 
tout les souvenirs qu'il me reste de la maternité.

Je t'ai vu souffler la bougie de ta troisième année il y a tous juste un mois, et je me demande déjà ce qu'il me restera quand vous ne serez plus là... 

Les souvenirs s'effacent avec le temps qui passe, on oublie
les petits coups de pieds ressentis et la peur que l'on ressent quand on entend qu'on risque de ne pas connaître son bébé... 

Oui mon fils, avec le temps j'ai fait le deuil de cette grossesse passée bien trop vite mais bien trop dur à mon goût. Bien sûr tu le sais, bien souvent je t'en ai parlé même si tu ne saisi pas encore tout le sens à cela, il me fallait être honnête avec toi. 

Tu es arrivé sans crier gare, installé au moment le plus heureux de ma vie, je te remercie d’être là aujourd'hui, toi que je n'ai cru jamais pouvoir serrer contre moi... 

A toi mon fils, que je prend le temps de t'observer chaque jours quand tu dors.

Je ne veux pas te laisser grandir trop vite. 

Non ! Je ne le souhaite pas. 

Je sais qu’après toi, plus personne ne grandira en moi. 

Plus personne ne respireras ni ne croisera mon regard la première fois...

Mon fils, mon petit gars, je ne te vois pas vraiment comme un grand même si du haut de 
tes trois ans tu nous montres que tu es plein d'indépendance et d'autonomie. 

Et oui mon prince, j'ai fait ce choix de ne plus être maman après toi. 

J'ai fait ce choix de te laisser cette place de petit dernier mais n'en profite pas.

 On dit souvent que le petit dernier est le "chouchou" de maman, je crois désormais que je comprend pourquoi. Quand on ferme pour de bon notre corps de maman, je sais qu'on se raccroche au dernier parce que c'est lui qui nous rappelle ce que nous avons vécu une dernière fois. 

Pourtant je vous aime tout autant avec Nounou mais simplement différemment.

 Elle, c'est celle qui m'a fait découvrir ce qu’étais une maman et toi celui
qui emmènera avec lui le plus beau de tout cela.

Oui, c'est fini il n'aura plus de bébé pour moi.

 Du haut de mes 30 ans à peine, je ne souhaite plus remettre cela, bien sûr on me dira que je peut encore changer d'avis mais sincèrement c'est bien calé et cela ne risque plus d'arriver. 

Je resterais pour la vie une "Deux Fois Maman"

Je fait le choix de n'avoir que deux beaux enfants, c'est pensé et vu mon fils. 

Si tu n'aurais pas chambouler subitement ma vie il y a trois ans Nounou serait peut être même seule ? Mais ça tu le sais déjà.

Tu es le cadeau que la vie m’a faite, un cadeau précieux et bénis des Dieux, mais moi je ne souhaite plus à mon tour offrir la vie. 

A toi mon fils, juste je te demande de prendre ce temps qui passe et de le garder précieusement parce que je ne serais jamais plus vraiment une maman le jours
où tu sera devenu grand. 

Sophie

Lettre à mes murs ...

Vous qui avez tout de suite été évident ce jour là, vous avez partagé ces sept dernières années de ma vie, de notre vie.

Vous n’êtes que quelques murs et pourtant, bien plus dans mon souvenir de ces années ensembles, souvenir indélébile qui restera dans ma mémoire jusqu'à la fin.

Par temps chaud, par temps froid et de pluie vous avez assisté à l'arrivée des deux amours dans notre vie.

C'est ici que les sept dernière années j'ai regardé par la fenêtre et jugé si il fallait prévoir un gros manteau ou moins, si on pouvait partir pêcher ou se promener.

C'est ici aussi que nous avons vu le premier test de grossesse positif, et ce premier départ a la maternité, ces premières nausée... puis ce second test et chaque moment passé de l'année.

Chaque premier éclat de rire, premier mot et premiers pas de mes bébés, autant de premières fois et de moments de bonheur qui ont résonné ici, je ne les comptes plus.

Il est de ces choses qui me fond verser une larme que peut-être certains ne comprendrons pas, cette larme n'est ni négative, ni positive elle est simplement ce petit pincement au cœur que je ressent en rendant les clés de ce lieu imprégné de nos vies, cette larme est le point final de ce chapitre ensemble.

Une page se tourne et la vie évolue, de nouveaux murs pour nous, une nouvelle vie, du mieux pour tous, le mieux pour nous.

Merci de nous avoir accueillis.

Amanda

Nous avons pris cette grande décision...acheter une maison

Youpi, fini l'appartement ! Nous avons acheté une maison

Être une maman c'est avant tout ÊTRE une femme

Coucou à tous, il est évident que depuis que nous sommes des mamans nous avons un peu moins le temps de penser à nous, cependant il est ESSENTIEL de le faire et d'y penser afin de se sentir bien. 

Avant d'avoir notre progéniture nous pensions à nous coiffer et
à nous mettre un peu de rimmel non ??

Maintenant, on attrape une pince et on se met juste un soin hydratant 
avant de partir à l’école (je schématise bien sûr :D ).

Avant d'être des mamans, nous sommes des femmes et pour qu'il y ai une famille, il y a un couple avec un mari a charmer (même après 30 ans à ses cotés je pense que c'est important). 

Avoir des enfants change nos priorités, je suis parfaitement d'accord sur ce point et
c'est pourquoi quand je suis arrivée dans mon nouveau chez moi, j'ai eu envie de faire 
de gros efforts sur mon coté femme. 

Je n'ai pas pris la décision de chasser la maman, non, mais juste de penser un peu plus à moi.
 C'est pourquoi je me suis aménagée un espace dédié à la beauté à la maison et depuis que je l'ai,
il ne se passe plus une journée sans que je prenne le temps de m'y assoir pour me preparer.

Un rêve d'enfant, avoir une coiffeuse  

 

Quand j’étais petite, je regardais en compagnie de ma maman la célèbre "SISI", j'ai toujours été fascinée par la beauté de Rhomy Shneider.

Sa longue chevelure, sa peau parfaite, ses bijoux mais surtout la sublime coiffeuse devant laquelle elle se peignait dans le film !

Une coiffeuse c'est pour moi un endroit ou nous devenons des petites princesses.

On se coiffe, on se maquille, on se parfume on dépose  devant le miroir le costume de la maman pour enfiler celui de la femme et revêtir un brun de féminité. 

 J'avais mainte fois fait part à mon cher et tendre de mon envie d'avoir un tel espace à la maison.

Avant, cela était impossible, notre chambre n’était pas assez grande et la salle de bain trop étroite 
et puis le tarif de ce type de meuble m'effrayait un peu !

A la Saint Valentin, mon mari a décidé de me faire THE SURPRISE 
puisqu'il ma offert une superbe coiffeuse !

 J'ai littéralement sauté de joie, je vous en avait même fait part sur Facebook.

Aujourd'hui j'avais envie de vous montrer mon espace beauté, là ou je me sent bien.

Voilà le modèle sur lequel il a craqué.

Il l'a acheté sur CDiscount pour 110€ (c'est presque donné à ce prix là !)

LA voici une fois montée. En moins de 10 min elle fût installée.

J'avais donc rangé mes produits avec soin.

Depuis, j'ai aménagé ce coin complétement différemment, je me le suis approprié, c'est MON espace à moi. Nounou et Kiki n'ont pas le droit d'y accéder sans autorisation.

Allez je vous montre comment j'ai rangé mon petit coin rien qu'a moi.

J'ai ajouté deux petits pots que j'ai dénicher sur Ebay grâce à une amie pour moins de 5€.

Dans l'un d'entre eux je range les brosses peignes, et les produits utilisés chaque jours.

Dans le second je range les pinceaux, le mascara, et le liner que j'utilise en ce moment.

 De chaque coté des petits pots je laisse les produits comme les 
fonds de teints, sérums sprays coiffants et parfums...

 Dans les tiroirs, de chaque cotés j'ai donc mis les petites palettes qui peuvent y entrer dans l'un et dans le second les mascaras, crayons et liners dont je ne me sert pas souvent.

Le rangement entre les deux tiroirs me permet d'y glisser mes palettes.
(même si je pense que sous peu, ce rangement ne sera plus assez grand :D )

Et enfin le tiroir de la coiffeuse contient des rouges à lèvres, des bijoux
et mes lingettes lavables pour me démaquille.

Tout autour de ma coiffeuse, il y a des dessins de mes enfants, des photos, des petites choses qui me rappelle milles et une choses et qui font de cet endroit le mien !

Ce qui me manque maintenant, c'est une étagère pas trop loin de ce petit coin
pour ranger mes appareils de coiffure...

J'aime être ici, je m'y sens vraiment bien. 

 Depuis que je l'ai, je me maquille beaucoup plus, 
je fait plus attention à moi.

Cet espace se situe dans ma chambre puisque dans ma salle de bain je n'ai pas la place.

Au final elle habille la pièce et me rappelle de prendre soin de moi chaque jour.

 

J'aime que ma Nounou prenne soin d'elle également à cet endroit
(jamais sans autorisation cependant).  

Voilà, nous avons fait le tour de ce petit coin ! 
Je vous retrouve très vite pour d'autres découvertes.

Sophie 

 

Comment trouvez-vous cette coiffeuse ???

Avez-vous une coiffeuse à la maison ?? 

Pourquoi juge t-on sans cesse ?

J'ai l'impression que dans la vie, que l'on fasse de bonnes ou de 

mauvaises actions, nous sommes sans arrêt jugés ! 

C'est un perpétuel recommencement...

Tu ne fais pas la cuisine, bouhhhh, tu es une mauvaise femme au foyer qui donne des conserves
et du tout-fait à tes gamins, à cause de toi, ils ne grandiront pas bien... 

Tu ne travailles pas et tu as fait le choix de rester à la maison, hé bien là, 
tu as la palme de la feignantise bien entendu !

À l'inverse, tu bosses 39 heures par semaine, tu es celle qui délaisse 
 ses petits pour les faire éduquer par la crèche ou la nounou... 

Tu as réussi et tu gagnes bien ta vie, tu as forcement été pistonné, 
ce n'est pas normal d'y arriver de toi-même !

Celle que je vois dans le miroir

J'ai longtemps cherché à connaître cette demoiselle que je voyais chaque matin dans le miroir de la salle de bain, cette jeune fille pas bien réveillée aux traits fatigués...

Cette étrangère, cette inconnue !

J'avais beau regarder et re-regarder je me heurtais à une personne que je ne connaissais pas... 

Un visage vide sans vie, des expressions de visage fermés, épuisée par la vie,
mais qui était-elle vraiment ?

Je crois que c'était moi, enfin une partie de moi, je ne l'ai pas croisé depuis 6 mois cette personne. 

 D'ailleurs, je ne la reconnais plus quand je jette un coup d'œil dans ce fichu miroir. 

Elle se cache ou se terre dans l'ombre en attendant de refaire surface, je ne sais pas !

À l'aube de mes trente ans, je pense que je l'ai affronté une bonne fois 
pour toute, et qu'elle ne reviendra pas de sitôt.

Je crois que nous nous sommes mises toutes deux en accord pour devenir un tout. 

Il m'en aura fallu du temps pour comprendre qu'elle ne me voulait pas de mal, 
non, mais qu'elle ne pouvait pas rester la à attendre que la vie se passe. 

Elle, si triste, si vide, si lasse ! 

Celle que je n'aimais pas quand je regardais en moi 

devait s'en aller pour que je puisse enfin exister.

Celle que je vois dans le miroir depuis quelques mois à enfin pris confiance en elle.

Elle sourit, se trouve jolie et à envie de vivre.

Elle se bat, s'acharne et pense bec et ongle que la vie ne s’arrête pas au moindre obstacle.

Elle s'accroche parce qu'elle sait que les rêves même les plus fous peuvent se réaliser.

 Elle a reprit goût en la vie.

Un rien la fait rire parce qu'elle pense qu'on doit être heureux même avec peu, qu'une journée sans sourire est une journée de perdue

...


Ce n'est que moi celle que je vois dans ce miroir...

Moi et uniquement moi-même. 

Je peux le dire, nous sommes en accord parfait désormais

J'ai fais ce choix d'assumer qui je suis enfin !

Sophie

Internet amplifie t'il l'hypocondrie ? Mon mal secret...

Bonjour à tous. Aujourd'hui je vais exorciser quelques unes de mes pensées et vous faire par d'un mal être depuis que j'ai depuis quelques années, vous avez du le constater l'autre parfois sur la page, une amygdale unilatérale gonflée, un peu de google, et c'est l'angoisse totale !

Doit-on être malade pour se sentir malade ? Le psychique trompe t-il le corps, le corps doit t-il toujours avoir mal ou sentir quelque chose de bizarre pour avancer, si l'on se concentre trop sur son corps, se trouve t’ont des problèmes ?

 

Ces phrases vont retentir comme une folie aux yeux de certains probablement, ceux qui ne comprennent pas et parler aux yeux d'autres, ce mal s'appel l'hypocondrie. Modérée ou sévère ce mal est silencieux chez les plus réservés et agaçante pour les moins réservés.
Je sais d’où viens ce mal, ou plutôt cette prise de conscience de la fragilité de la vie (je vous en parlais ici il y a quelques temps...).
Depuis, il ne se passe pas un mois ou j'angoisse pas une fois pour quelque chose du plus petit au plus lourdes pensées et pourtant mon bilan sanguin est tout à fait régulier, rien de spectaculairement alarmant, une petite baisse de fer ce qui est général souvent présent chez les femmes..bref a priori je ne suis pas malade, paradoxalement j'en ai conscience.

Mais le ciboulot l'est peut-être bien un peu je l'admet, malgré la conscience que j'ai de ce mal présent certains jours, l'hypocondrie ne cesse d'envahir mon quotidien par épisodes. Parfois pendant un moment tout va bien, et il suffit d'un petit truc, un petite arthrose, un petit froissage de muscle ou une douleur transitoire inexpliqué pour que tout s'amplifie dans ma tête jusqu’à m'angoisser terriblement.

En quelques années j'ai appris a appréhender ce mal, j'évite de courir au docteur, j’attends 7 jours consécutif par exemple lors d'une douleur que je juge "angoissante" avant de prendre un rendez-vous. J'évite également de lire trop de forum sur internet, même si je l'avoue je tapote toujours un peu, je me dirige toujours vers des sites spécialisés pour chercher des infos. Je pense à autre chose en me disant si t'a vraiment quelque chose, tu sera interpellé sans y penser. 
Mais malgré cela, à mon goût internet amplifie ce mal au fur et à mesure du temps. Oui il ne faut pas taper sur internet, facile à dire... sale habitude.

Je suis sûre que vous vous reconnaitrez tous au moins un jour dans cet exemple : un bouton bizarre, oh mon dieu c'est quoi, hop on googlise "chéri j'ai peut être une maladie grave -_-"  'je doit passer sur le billard" ou "J'ai pas le moral, je crois que j'ai un truc grave..." on l'a tous fait au moins une fois et constaté qu'on a forcément une grave maladie à partir de pas grand chose... !! 
On cherche toujours la cause de ce que l'on ressent même si on ne devrait pas, parfois on ne trouvera pas, les maux ne sont que de passage.

La spirale de l'hypocondrie

Et pourtant, je connais trop bien ce système, j'en ai conscience, mais ce mal m’empêche de penser au coté non grave de la cause d'un bouton, d'un ganglion d'une mal de ventre et j'en passe. Pour moi c'est certain sans internet je ne connaîtrait pas autant de choses qui me font peur et je ne serait surement pas autant anxieuse à chaque questionnement, sans doute même que sans accès à l'information je ne me poserait pas autant de questions au final.

Alors certains répondrons, il te faut une maladie pour que tu soit contente ou quoi ? Hé bien non, justement l'hypocondriaque veut échapper à la maladie, même si la pensée ne fait échapper en rien à son destin...

Comment réagir face a l'hypocondrie d'un proche, m'admettant hypocondriaque je vous dirai qu'il faut écouter la personne et lui parler, la rassurer, ne jamais l'insulter ou se foutre d'elle mais accompagné son mal, car si aucune maladie ne germe chez la personne comme elle le pense, l'hypocondrie est un petit mal au même titre que la dépression.

Pour les docteurs cela est parfois agaçant, d'autres jouent le jeu dans la limite du raisonnable, le meilleur docteur pour un hypocondriaque est finalement un docteur à l'écoute ayant des réponses poussées dans le détail (car oui un hypocondriaque connais beaucoup en médecin à force de lire un peu tout) et non fermé qui dit "vous n'avez rien directement".

La encore certain dirons mais réveil toi, tu te gâche la vie, à ceux là qu'il sache que si pour l'entourage c'est énervant, pour la personne qui le vis ce n'est pas une partie de plaisir. S'imaginer le pire des choses à partir de rien, s'imaginer le pire pour les gens à qui l'on tient, en avoir des insomnies de stress, et avoir de journée démoralisées pour un coup de panique ce n'est pas facile à vivre non plus.

Il n'y a pas vraiment de moyen de se soigner lorsque l'on tombe hypocondriaque, cela fini toujours par revenir en fait, l’élément déclencheur c'est souvent le stress, les coups dur de la vie, les mauvaises lectures ...

On le sais, un jour on va tous "capoter" comme on dit, on vieillis tous, on aura tous quelque chose, c'est la pire façon de voir la vie, et c'est pourtant la pensée indélébile de cette maladie.

Parfois j'ai honte d'avoir des idées pareils à 28 ans, je m'excuse pour tout ceux que ça exaspère, je suis une personne angoissée de nature, j'ai l'impression que cela tend à revenir depuis un mois, je ne sais pas encore pourquoi là, je m'agace moi même, je remercie mes amies qui se reconnaîtrons qui m’écoute et ne m'envoient pas chier, j'en ai peine à repenser après coup, je suis triste de me noircir les idées certains jours aussi, heureusement que ces épisodes ne sont que par périodes.



Comme on dit, "il vaut mieux prévenir que guérir", mais on dit aussi "à force de crier au loup...". 




Le film Supercondriaque est juste excellent à ce sujet, j''ai adorer le film.



Êtes vous un peu hypocondriaque ?
Internet amplifie t-il ce mal à votre avis ?

Mais où est mon bébé ?

Mais où est mon bébé ? Cette phrase me revient souvent en tête.

Hier c'était l'heure du repas, Chouquette demande depuis une bonne semaine passée de manger sur une chaise normale comme son frère..., je la regarde admirative, du haut de ses 19 mois, elle fait tout comme son frère, tout comme 'presque une grande' de 3 ans.

Souvent je me dit qu'elle ne passe pas l'étape entre ses 12 mois et ses 3 ans, elle n'a que 19 mois et suit son frère à grande vitesse, elle le copie évidemment. Depuis qu'elle marche le temps défile en mode rapide sur l'écran de la vie.

Je suis à la fois fière d'elle et frustrée, cette frustration que mon bébé grandit encore plus vite, que le temps passe si vite, 19 mois en arrière dans mon ventre, ma petite perle poussait son premier cri je l'entend encore.

Aujourd'hui elle mange quasiment proprement à la cuillère et nous dit non, en poussant son yaourt, "c'est pas bon" et pointe du doigt un autre dessert. Chouquette remet ses chaussettes cela m'épate, Pilou me demande encore de lui mettre... On dit bien souvent que les seconds vont plus vite, et bien c'est réellement impressionnant, pour Pilou j'attendais chaque étape impatiente, et heureuse dès que cela se passait, presque frustrée si les choses ne se passait pas à temps et rapidement inquiète !

Elle sait très bien quel dvd elle veut et manipule la télécommande de la télévision sans problème d'ailleurs mais par contre n'est pas vraiment intéressée longuement par la tablette de son frère. Pour elle "la télé est cassé" quand elle s'éteint !

Pour Chouquette c'est tout l'inverse de Pilou, je ne la presse pour rien et pourtant elle court, elle s'affirme et elle aime faire seule les choses, elle veut tout savoir, tout faire.

J'ai deux enfants bien différents, presque des opposés en fait, l'un aime être secondé sans cesse, être pépère, est un mini geek en gros... l'autre aime se débrouiller seule et déteste qu'on l'aide et aime se dépenser !! Caractère, évolution, etc tout est différent ici.

Une vraie fusée ma Chouquette, je la regarde admirative avec sa volonté à apprendre les choses de la vie aussi vite et épatée de sa facilité à tout saisir de suite et à faire des phrases à l'âge de 19 mois ! "Debout papa", 'hop on y va !" "C'est saaaaale" "Oh papa ti boooo" "Un gâteau maman", "Tait toi le chien" , "un bibi au lait lait maman" etc... !

Mais ou est mon bébé ? L'année après la marche nous fout un coup quand même au moral, j'adore la voir grandir et je suis déjà nostalgique des moments passés en tant que bébé.

Mon grand plaisir en ce moment c'est de voir qu'il s'entendent de mieux en mieux, Pilou et Chouquette son très très complices maintenant ça c'est un vrai régal, mon cœur est comblé par ces instants. L'étape des durs conflits d'âges est passé ce fut dur pour tous, Pilou agacé par ses affaires abîmées et nous avec les oreilles en feu !!

Aujourd'hui j'ai l'impression que tout s'est passé en un clin d'oeil, on est est déjà là.

Et dire que je n'ai pas fini d'être nostalgique, bonjour les mouchoirs.


Vous aussi vous avez ce genre de moments de nostalgies ? 

Joyeux anniversaire Ma petite Fée

Petite Fée aujourd'hui sera forcement un jour parfait, comme chaque matin tu va me rejoindre dans mon lit pour me couvrir de câlins...

Reprendre ma vie en main, enfin !

Coucou à tous, je l'avais promis cet article, celui ou j'allais enfin vous dire que nous allons bien 
que la situation a changée, qu'elle a évoluée ! 

Je l'ai espéré de toute mes force le jour ou je pourrai écrire cet article puisque cela signifie que ce jour, qui est aujourd'hui, nous nous sentons mieux, et qu'enfin 
je peut reprendre un semblant de vie normal !

Je vous ai tenu informés de tous les évènements qui se sont passés dernièrement 
dans nos vies par le biais de FB, mais c'est vrai que je n'avais pas le 
temps de venir tapoter par ici (pardon Amanda). 

Ne jamais dire jamais...

Coucou ! Avant de devenir maman de mes deux enfants, je ne connaissais pas l'environnement des frères et sœurs.

Je suis moi même fille unique, dans ma tête voilà 10 ans, j'aurai été maman d'un seul enfant au cours de ma vie, surement pas plus, je trouvait qu'enfant unique n'était pas dramatique tout au contraire j'avais aimé, un second enfant, non jamais...

Je ne pense pas qu'il y ai une façon mieux qu'une autre, mes parents ont fait le choix de tout donner à un seul enfant pour diverses raisons et je les remercies pour ce qu'ils m'ont et continuent de m'apporter, j'ai eu une enfance pleine d'amours, pleine de tendresses, pleines de cadeaux..., oui j’étaie le centre de l’intérêt forcément dont je garde que du bon.

Et puis la sonnette sonne, l'appel de l'horloge biologique à mon tour, l'envie irrépressible de fonder une famille avec mon homme, d'être plus que deux à la maison, d'être complété au quotidien par une petite personne qui reflète chacun de nous deux, qui sera notre centre d'intérêt et pour qui on donnera le meilleur.

Ce merveilleux bébé voit le jour, il est magnifique, je découvre ce petit être plein de vie, sorti par la magie de la vie, même si cela peut paraître drôle à dire, c'est tellement banal d'avoir un enfant, mais tellement épatant de voir qu'un petit être pousse en nous et en sort !

C'est une tornade d’émotion, de bonheur, la vie change, la vision de la vie change, tout est d'une autre couleur, mais rien n'est plus fade.

Ainsi 1 an et demi plus tard, "jamais" ne voulais plus rien dire, mon Pilou aurait une frère ou une sœur c'était une évidence, nous allions devenir 4 par souhait et par envie de donner et recevoir encore plus d'amour au quotidien.

Une nouvelle tornade s'empare de nous à chaque naissance et nous emporte, la vie est ainsi faite, on donnerai tout pour nos enfants, on dit qu'il ne faut pas vivre trop pour eux, mais vivre aussi pour soi, moi je crois qu'on doit oui se protéger une parcelle certe mais une fois qu'on est parent, les enfants sont notre vie malgré tout, ils sont le centre de notre vie.

J'aime ce sentiment, j'aime ce quotidien, je sais maintenant qu'il ne faut jamais dire jamais, que ce qu'on m'a conté, la merveille d'être parent, de rencontrer son petit bout, n'est pas une utopie ou un phrase que l'ont dit en l'air, ce bonheur existe et est même plus fort que les mots ne peuvent le décrire.

"Je suis maman de deux enfants, je suis une DeuxfoisMaman et j'adore ça ♥ ♥"

 Amanda

Et-vous, avant d'être maman, vous vous voyiez avoir combien d'enfant(s) ?